Les États membres continuent d’adopter le concept et les avantages des approches de l’agriculture du carbone, qui sont activement encouragés par la #NouvellePAC.

Les pays baltes reconnaissent l’importance de l’agriculture du carbone et partagent et mettent en réseau leurs expériences de manière proactive par le biais du Groupe d’action pour la mer Baltique, en soulignant les facteurs de réussite qui peuvent être utiles aux autres États membres. En Allemagne, une stratégie nationale pour l’agriculturedonne la priorité à une agriculture respectueuse du climat et le débat se poursuit dans le pays sur les mérites des méthodes de production favorisant l’accumulation d’humus. Les engagements à long terme en faveur du financement de l’agriculture carbonée sont considérés comme essentiels pour la transformation des plans de modernisation du secteur agroalimentaire.

L’Espagne est un autre État membre qui prévoit d’utiliser les aides de la PAC pour développer l’agriculture biologique. Dans ce pays, le passage à une agriculture qui fixe le carbone et réduit les émissions est considéré comme un moyen de « stimuler les économies rurales, en combinant la création d’emplois et les avantages économiques avec la protection de l’environnement, la lutte contre le changement climatique et l’amélioration du bien-être des animaux ».

L’enthousiasme pour les développements de l’agriculture du carbone en France et en Pologne est également de plus en plus connu grâce à des campagnes de communication telles que celles financées par l’UE et fournies dans le cadre du rapport spécial d’EURACTIV sur la tendance de l’agriculture du carbone en Europe. Consultez régulièrement la page web de la Commission européenne consacrée à l’agriculture du carbone et le site web du RERD pour obtenir plus d’informations sur les derniers développements concernant l’agriculture du carbone au sein de l’UE.